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Extrait:Une réunion est en cours dimanche après-midi autour du Premier ministre Edouard Philippe au lendemain des violences qui ont émaillé le 18e samedi de mobilisation des "Gilets jaunes" à Paris, a annoncé Matignon. Cette réuni
PARIS (Reuters) - Une réunion est en cours dimanche après-midi autour du Premier ministre Edouard Philippe au lendemain des violences qui ont émaillé le 18e samedi de mobilisation des “Gilets jaunes” à Paris, a annoncé Matignon.
Cette réunion, en présence de la ministre de la Justice Nicole Belloubet, du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, et de Laurent Nunez, secrétaire d‘Etat auprès du ministre de l’Intérieur, devait commencer à 17h30, précise un communiqué des services du Premier ministre.
Les violences et les incidents de samedi ont abouti à 200 gardes à vue à Paris et causé des dégâts matériels importants aux Champs-Elysées, l'artère commerciale la plus célèbre de la capitale française.
Le président de la République Emmanuel Macron a appelé samedi soir à la prise de “mesures fortes” “dans les meilleurs délais” pour prévenir une réitération de ces violences lors d'une prochaine journée de mobilisation.
La réunion ministérielle à Matignon devrait permettre un renforcement des mesures de maintien de l'ordre public en attendant que la loi dite “anticasseurs” soit validée par le Conseil constitutionnel, a laissé entendre la ministre des Solidarités et de la Santé qui était interrogée lors de l'émission “Le Grand jury” organisée par RTL, Le Figaro et LCI.
“Il y a une réunion pour voir si des mesures complémentaires (à la loi anticasseurs) sur la façon dont l'ordre est maintenu pourront être prises (...)”, a-t-elle déclaré.
Elle a ajouté que ces mesures devraient être annoncées “rapidement” sans donner de date.
La constitutionnalité de la loi “visant à renforcer et garantir le maintien de l'ordre public lors des manifestations”, dite loi anticasseurs, adoptée mardi dernier par le Parlement, est en cours de vérification par le Conseil constitutionnel.
Elle comporte un certain nombre de dispositions qui ont suscité la controverse, notamment la possibilité d'interdire administrativement à une personne de manifester ou la création d'un nouveau délit de dissimulation volontaire du visage passible d'une peine d'un an d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende.
“Quand on arrive avec un sac à dos plein d'armes, on devrait être en mesure d'arrêter des gens et de les punir. Aujourd'hui, ce n'est pas possible. Cette loi est absolument nécessaire”, a indiqué Agnès Buzyn.
Elle a souligné la difficulté d'appréhender les casseurs qui arrivent par petits groupes de cinq ou six personnes et par des chemins très divers sur un lieu de manifestation.
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