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Extrait:Certaines des plus grandes entreprises du numérique et des Etats se sont engagés mercredi à renforcer leur lutte contre la propagande terroriste et l'extrémisme violent sur internet, à l'occasion du lancement à Paris d'un "appel
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PARIS (Reuters) - Certaines des plus grandes entreprises du numérique et des Etats se sont engagés mercredi à renforcer leur lutte contre la propagande terroriste et l'extrémisme violent sur internet, à l'occasion du lancement à Paris d'un “appel de Christchurch”, deux mois après les attentats dans cette ville néo-zélandaise.
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Amazon, Facebook, Google et YouTube (Alphabet), Microsoft et Twitter ont adopté ce texte et annonceront des mesures. Facebook, le plus grand réseau social, a d'ores et déjà annoncé le durcissement des conditions d'utilisation des vidéos en direct..
Qwant, DailyMotion, la Fondation Wikimédia ont également adopté ce texte, aux côtés de la France, de la Nouvelle-Zélande, du Canada, du Royaume-Uni, de l‘Irlande, de la Jordanie, de la Norvège, du Sénégal, de l’Indonésie et de la Commission européenne, dont les dirigeants étaient réunis à l'Elysée.
D‘autres pays dont l’Australie, l‘Allemagne, le Japon, les Pays-Bas, l’Espagne, l‘Inde et la Suède ont également apporté leur soutien à l’appel.
Les Etats-Unis n'ont pour l'heure pas annoncé leur soutien.
L'auteur des attentats, qui ont fait 51 morts dans deux mosquées, a filmé et diffusé le massacre en direct pendant 17 minutes via Facebook Live. La vidéo avait été partagée pendant plusieurs heures sur Twitter, YouTube, WhatsApp et Instagram.
Avant Facebook mercredi, d'autres plateformes avaient pris des mesures, à l'image de YouTube, qui a relevé le seuil d'abonnés requis pour diffuser en direct sur un appareil mobile.
“ENCORE BEAUCOUP DE TRAVAIL À MENER”
Les entreprises et Etats soutenant l'appel de Christchurch se sont engagés à promouvoir des actions locales, accélérer la recherche de solutions pour prévenir le téléchargement, la détection et le retrait des contenus en cause, coopérer avec la police et la justice et élaborer des procédures de réaction rapide. (here)
“Il y a encore beaucoup de travail à mener mais nous avons bon espoir d'avoir posé aujourd'hui un certain nombre de principes de base”, a dit le secrétaire d'Etat au Numérique, Cédric O, à des journalistes, à propos de l'appel et des deux événements se tenant parallèlement à Paris.
A quelques encablures du salon de l'Elysée où étaient réunis les signataires de l'appel de Christchurch, plus de 80 dirigeants de grands groupes, start-ups et acteurs de l'écosystème tech ont planché sur l'éducation, l'avenir du travail, la diversité, l'inclusion économique et l'environnement dans le cadre de la deuxième édition de “Tech for Good”.
Si les annonces d'investissements ont été moins nombreuses que lors du premier sommet, plusieurs engagements ont été pris.
Quarante-cinq entreprises ont notamment promis d'augmenter le nombre de femmes dans les fonctions de management et direction à hauteur de 30% en 2022 (contre une moyenne de 15% aujourd'hui selon les estimations).
Après une conférence de presse d'Emmanuel Macron et de la Première ministre néo-zélandaise, Jacinda Ardern, 180 à 200 invités, dont 150 dirigeants d'entreprise et les chefs d'Etat et de gouvernement, devaient dîner à l'Elysée autour du président français.
Les ministres chargés du numérique des pays du G7 (Etats-Unis, Japon, Canada, Royaume-Uni, Allemagne, Italie et France) avaient plus tôt travaillé sur une charte sur les contenus haineux sur internet, qui doit être signée en août.
L'incertitude plane sur la signature de ce texte par les Etats-Unis, qui se désengagent des accords multilatéraux depuis l'élection de Donald Trump à la présidence.
Jeudi, plusieurs de ces entreprises se retrouveront au salon technologique VivaTech, organisé jusqu'à samedi à Paris, où Emmanuel Macron répondra jeudi matin aux questions de chefs d'entreprise.
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